Comme Alexandre Charpentier et Jean Dampt en France, Gustav Gurschner s'inscrit dans un contexte général de renouveau des arts décoratifs. Il s'attache à créer des objets d'usage courant: cendriers, poignée de porte, encriers ou lampes électriques, en utilisant fréquemment des ressources expressives du corps féminin.
Son graphisme très élégant porte la marque d'une double appartenance culturelle: les lignes sinueuses de l'art nouveau français sont tempérées par la rigueur et le goût de la symétrie plus germanique.